Saipem-Algérie : Les montants pots-de-vin versés à Chakib Khelil et ses proches révélés dans la presse italienne
Les 10 pays où les expatriés vivent le mieux
La légalisation de copies de documents originaux interdite dans les APC
Près de 4.000 algériennes atteintes de cancer du sein répudiées chaque année par leurs maris
En Algérie, les salafistes veulent "nettoyer" les villes côtières des bars et des lieux de débauche"!
Le vote des Tunisiens vu d'Alger : Noires caricatures, vieilles hantises et nouvelles espérances
Les cadres d'entreprises gagnent en moyenne 67.600 Da en Algérie (ONS)
Les journalistes de l'ENTV se révoltent
Au Maroc, la peine de prison de la militante Wafaa Charaf doublée en appel
Algérie: Plus de 20 terroristes neutralisés depuis plus d'un mois par l'ANP
Attaqué sur ses diplômes, Zidane répond
Un bédéiste français interdit de séjour en Israël à cause de son engagement pour Gaza
Douze Nobel de la paix appellent Obama à faire la lumière sur la torture
Les Etats-unis veulent combattre Daech...sur le net
En Algérie, 23 crimes sont commis chaque heure
Près de 17.724 crimes ont été enregistrés durant le mois d’août en Algérie, avec une moyenne de 555 crimes par jour, soit 23 crimes par heure, a indiqué hier 23 octobre le quotidien arabophone El Khabar citant les chiffres de la Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN).
L’homicide volontaire et l’agression physique sont les crimes les plus fréquents. Les autorités dénombrent ainsi 8.002 affaires de ce type dont 5.904 d’entre elles traitées durant le même mois d’août. Par ailleurs, la DGSN indique avoir arrêté environ 14.018 criminels au cours de cette période.
La privation du citoyen de ses "besoins fondamentaux et biologiques" est à l’origine de la propagation de la criminalité dans la société algérienne, selon Lamouri Aliche, professeur en Sciences Humaines à l’Université de Bouzaréah, à Alger.
"Avec l’apparition des technologies, le jeune algérien s’est retrouvé dépaysé et influencé par tout ce qui se passe en Algérie et ailleurs dans le monde," renchérit le professeur dans un entretien accordé au quotidien arabophone.
Le comportement violent du jeune algérien, "en quête permanente de satisfaction sociale et biologique", se nourrirait également des problèmes sociaux qu’il affronte quotidiennement, en l'occurrence le chômage et la crise de logement, accentués avec la croissance démographique.