cette histoire de soutien financier sous quelque forme que ce soit, à des entreprises, me parait pour le moins scandaleuse car illégale ou simplement arbitraire, car tous les algériens ont besoin de soutien y compris moi même qui cours depuis 4 ans derrière le ministère des moudjahidines pour subventionner l'édition de mes livres. Rien à faire, on se me moque de nous! l'état sait ou viser avec ses subventions pour cibler sans doute des copains de grosses légumes. oui! je le dis en toute honnêteté, ces subventions sont indues, et ne répondent nullement à un impératif national de développement.
Solution proposée ; il faut mettre tous les algériens devant leurs responsabilités et leur permettre également d,accéder à leurs droits. un point c'est tout. pas de mesures exorbitantes du droit assimilable au fait du prince! Si une entreprise est incapable de respecter son équilibre BUDGÉTAIRE ou n'arrive pas à sortir de son ENDETTEMENT qu,elle ferme ses portes. car un citoyen qui n'arrive pas à subvenir aux besoins de ses enfants, un chômeur, ne reçoit aucune aide ou assistance de l'Etat. la solution qui lui reste est de se suicider. Ah! il a par contre l'embaras du choix entre la pendaison, l'immolation ou la mer!
voila le vrai problème de l'économie algérienne, l'argent du peuple est distribué selon des critères subjectifs, partisans, politiciens, clavistes, c'est le fait du prince! Et puis tout cet aregent qui va aux partis politiques qui ne me représentent nullement. et ses augmentations de salaires des députés illégitimes, ces ministres qui ont ruiné le pays?
Et ce couffin de la rahma? le comble de l'ironie ou de l'arnaque ? on penserait que l'Algerien underground est un mendiant qu'il faut juste nourrir une fois! Voilà tout de méme un acte de clemence qui ferait sourire le dictateur Boumediene dans sa tombe et devrait donner des larmes à notre vélléda Louiza Hannoune.
qui est patron et qui est mendiant dans cette relation a-économique et a-religieux? On oublie seulement que ce mendiant, ce nécessiteux est aussi autant propriétaire que le président de la république ou moi-méme des richesses de ce pays que l'on nomme ALGERIE, jadis sous la botte des colonialismes, puis libéré grâce au sang généreux de nos ainés.