le contrat de joint venture signé entre Renault et l'Algerie appelle de notre part les remarques suivantes.
1. le gré à gré n'est pas justifié, pas méme par les relations politiques entre l'Algerie et la France
2. le montant du marché est inconnu du public- d'ou absence de transparence
3. l'étude technico économique ne conclue pas forcéement à la rentabilité du projet
4. l'etdue de faisabilité est absente ou mal menée
5. la capacité nominale me parait faible au regard des besoins nationaux
6. le type de véhicule retenu me parait obsoléte et peu performant à l'interntionale
7. la dépendance de pays tiers pour la pièces de rechanges me parait compromettant pour l'avenir de cette usine
8.les representants du peuple n'ont pas été consultés
9. l'absence de débat sur le profit signifie une entorse à la pratique démocratique
10. l,exclusion des opérateurs nationaux privés du marché de la construction automobile remet en cause la regularité du contrat et la loi sur la concurrence
11. d'autres constructeurs, allemands, suédois, anglais, américains, coréens, chinois, japonais auraient dus être associés à la compétition