En multipliant de nombreux de contrats entre l'Algérie et la France, le pouvoir algérien tente dans une ultime tentative d'aider le pouvoir de Francois Hollande, déjà fortement abimé par des scandales financiers et sexuels, à survivre. Beaucoup de contrats mais à l,unique but : le prétexte pour transféerer des sommes colossales vers le tresor francais.
Et ce n,est pas un hasard quand Sellal a eu recours tout dernièrement à une phrase qui justifie le crime économique : la formule illegale de gré a gré de doit être une exception pour le le premier ministre qu'il fait interpréter à contrario. Les boutades de Sellal ne trompent plus personne. le peuple sait à quoi s'en tenir, c,est à dire le contraire de ces phrases destinées a disculper d toutes sortes de magouilles.
Il est clair qu'en levant toutes les contraintes juridiques qui imposent dans tous les pays du monde une participation démocratique à gestion, le pouvoir s'est donné les moyens et une fausse assise juridique pour permettre aux acteurs de vider les caisses du pays , et renflouer l’économie française dans le seul but de soutenir le pingouin qui en retour soutient contre vents et marées le pouvoir dictatorial algérien. Ce N,est pas non plus un hasard si Sellal en visite en France s'est permis cette déclaration cynique et non moins fracassante :" L'Algérie n'a pas besoin de la France"
il serait interessant de jeter un coup d’œil sur ces contrats pour le moins léonins, pour se rendre compte que le pouvoir algérien est capable de créer des prétextes à relations de transactions dont le seul objectif est de donner lieu à transfert de devises vers la France. une simple rencontre factice entre ministres français et le premier ministre algérien peut être interprétée comme une transaction commerciale.
l'allusion faite par Sellal au gré a gré, qui selon lui devrait être une exception, ne trompe personne, puisque à l'heure actuelle le pouvoir de Sellal traite comme un roi des transactions originaires dont l'intérêt reste à prouver entre la France et l'Algérie.
Voila une facon de démentir le nationalisme du gouvernement algerien et en particulier de ces tenors qui ne finissent pas de nous rabacher la collusion avec des forces étrangères quand seulement l'UE demande à discuter avec l'opposition.
il y a comme une supercherie monumentale, et un mensonge intolérable que cette pratique du pouvoir.
Dans tout cela , le peuple est considéré comme mineur. les declarations de Gaid , le suggèrent amplement, comme si le peuple ne sait pas distinguer un ami d'un ennemi. un concitoyen d'un étranger.
Basta !
