L’ennui d’être seul avec moi
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Imaginez la chose. Jean-Jacques Rousseau disait craindre l’ennui d’être seul avec lui-même. C’était là son plus grand effroi (Aux muses, Épître I, Liv. I – 1712)
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Est-ce que l’ennui me gagne? Parfois. Est-ce que je lui cède une part de moi-même. Quelquefois. Ai-je assez de résilience pour le fuir? Oui et non.
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Diantre! Comment peut-on parler d’ennui à un public fidèle sans savoir si nous atteignons leur imaginaire? C’est une audace, j’en conviens. Une routine ressemble-t-elle à l’ennui?
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Pourquoi ne me contenterais-je pas de produire un petit guide touristique quotidien sur la ville de Montréal à la forme la plus neutre possible? Parce que ce serait double ennui… Imaginez la chose!
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Une rue, pour très animée qu’elle soit, peut-elle inspirer l’ennui? Oh que trop!
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N’avons-nous rien appris de Stendhal pour qui le grand mal de la vie, c’est l’ennui? (Fragments, De l’amour – 1822)
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La vie n’est qu’une succession de ruptures d’amour, d’amitié, de fidélité, dans la foi, dans les croyances, dans les vérités et mensonges, entre rêves et réalités
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Le temps, les saisons, les jours et les heures sont aussi en rupture avec le grand cadran solaire qui gouverne nos vies
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Nous serons, notre vie durant, des êtres de rupture soumis aux grandes résiliences
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Alfred de Vigny rejoignait en quelque sorte, dans le Journal d’un poète, Stendhal lorsqu’il constatait, non sans une profonde lucidité, que l’ennui est la maladie de la vie ; pour la guérir, il suffit de peu de chose : aimer ou vouloir
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Ce lundi il a fait froid. Très froid. Jusqu’à moins sept degrés centigrade. Un vent… grand vent froid du nord.
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nous sommes frères et soeurs en humanité, en ennui, en résilience, en peur d’ennuyer (et pourquoi diable !) – il ne faudrait pas oublier que rien ne se fait sans un peu d’ennui à la base, quand ce n’est pas par obligation.
Et les passants n’éprouvent aucun ennui, ils dégustent mots et images belles