chaud ce 9 mai 2013. un embouteillage monstre qui a commencee a Alger, sur l,autoroute, deja face a la nouvelle mosquee ElDjzair, en construction. Que se passe t il, on ne sait rien pour le moment, nous sommes comme tout le monde engages et nous ne spouvons faire demi-tour car meme les bretelles sont surchargees de vehicules, la bande d,arret d,urgence meme est occupee , soit par les malins qui ne respectent ni les services d,ordre ni le code de la route, mais aussi par des policiers qui actionnent leurs avecrtisseurs sonors a tue tete. Mais enfin pourquoi ajouter a ce vacarme de moteurs, de claxons, la sirene des policiers.
enfin on arrive au niveau des bananiers cote autoroute.un barrage de police en pleine autoroute , appuyes par des elements de la douane nationale.
que cherchent ils ces douaniers, des rames , de la drogue ou simplement des marchandises importees frauduleusement, je n,en sais rien et au point ou nous en sommes, je ne veux meme pas le savoir, du momnet que maintenant on peut router aisement a 100 km a l ,huerre, il est presaue 11 heures,
nous fions a toute allure sur Tizi Ouzou. nous voila parvenus au bout d,une heure de course pousuite. pas de difficultes , pas trop je veux dire a franchir oued aissi,
nous empruntons la route qui mene vers Ain El Hamma via Larba nath Irathen
la verdure de la veetation nous accueille a bras ouverts, nous franchissons par le flanc est le Barrage de Taksebt sur l,habituelle route sinueuse, et au bout de quelques longs minutes, chauffes par le soleil qui tapait doirt sur le pare brise, apres avoir cahete un camembert de marque sendou et une baguette de pain , pour confectinner a la va vite des shandwichs, nous paasons au travers de la ville de larbaa nath irathne sans difficultes, car habituellement les gens de cette ville qui fut une ofrteresse de l,armee franacise, eprouvaient un malin plaisir a ralentir les uatomobilistes, en traversant nonchallamment vetus de luers busnous , la chaussee de part en part, pour les non residents de cette localite, les gens de Fort National,ne sont pas civilises rien a juger par cette attitude, qui pour moi se semble murement reflechie, calculee : le but etant de ralentir le flux de vehicules pour empecher tout accident de survenir. il est vrai que la chaussee est tres etroite meme sipour traverser la ville, il existe deux voies a sens unique.
ouff, nous sommes deja a Michelet-ain el hamma, et nous n,avons la aussi eprouve aucune difficulte a traverser cette pseudo ville e par en par, les etrenels travaux de terrassements et de constructions qui n,avvancent qu au pas de tortue, n,ont pas gene outre mesure les nombreux vehicles toutes marques et tous gabarits de circuler
qulques minutes apres , nous voila a Tizi Bouirene, stop, je me gare sur le terre plein devant un magasin , et me dirige vers un cafe ou je commande un presse, je penetre ensuite dans un magasin d, alimentation genarle etfruist et legumes ou e commande un klio de bananes e, un kilo de pommes et 20 yaourts raomatises . je reprends le vlant d emon vehicule et fonce sur le villae iferhounne non sans avoir jeter un long repard sur la tomme d emon perre qui est expose au regard des passants dans le cimetierre du meme lieur. un autre regard rapide sur le monumentaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa erige a l,attention des 1600 martyrs de a guerre de liberation, de toute la daira,
me voila mainetnant tout pres de la poste diferhounene que je longe su r le nord, .puis a tala bouadda, et cest que ma merre se terre depuis des annees, chez son fils M, qui n est autre que mon frere.
je tourne la poignee de la porte ,ouvre et entre dans la cage d,escalier que je grimpe normalement, j ouvre une second eporte, je debouche sur un long couloir que je parcours pour me trouver en face de l,entrre de la chmabre ou se trouve assise dans une tranquillite qui ne peut etre remarquee que dans certains endroits ou l,inertie est reine....
ma merre! son lit n,est plus la, j,apprehendai le moment ou on allait m,annoncer la nouvelle fatidique inhabitullle. j,entre dans la chambre, contre le mur dans lequel est encastree cette porte d,entree, en sens contraire de ma vue, le lit sur lequel tronait ma mere,le regard absent, mais bel et bien vivant. elle ne voit plus, mais elle entend a demi.
- qui est la, dit elle
- c,est moi lui repondis je
- mais qui, repete t elle
- moi, en chair et en os
je tendis mes mains pour l,embrasser de mes bras, elle reconnut alors mes longs droits et ma voix qui vibrait au dessus de sa tete
- Abdenour!mon enfant cheri! ou etais tu passe
- absent du territoire national depuis 6 mois, lui repondis-je
- mais tu aurais pu telephoner
- j,ai essayee a maintes repreises de te contacter, envain
Elle me tends son telephone portable, oui elle a son telephone , ma maman, je verife pas moins de 20 appels en absence que je defile l,un apres l,autre. la je decouvre mes deux appels , c,est bien les deux numeros que j,ai utilise de l,etranger
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