iferounene : livre
Algérie : le crise du logement et la lune de miel au tunnel des facultés
Algerie : Louiza Hannoune dérape
Il m'arrive de vouloir mettre un terme à toutes mes critiques envers Louiza Hannoune une fois pour toutes. Mais force est de me trouver dans l'impossibilité, tant cette femme suscite en moi des réactions presque épidermiques et incontrôlables au plan émotionnel, les contradictions monstrueuses monumentales, parfois frisant le grotesque me font sortir de la coquille dans laquelle j,essaye de m'enfermer surtout en ces temps de neige et de température avoisinant les moins 1o degrés au pays de l'oncle Sam. Soit dit en passant, ce pays que notre velleda continue de diaboliser alors que le notre est est devenu aujourd'hui, tout simplement invivable, pas seulement à causes des fraudes aux élections.
Bien! commençons à développer nos idées :
1.Louiza continue de défendre Bouteflika sans son accord : contre les fraudes et le fait qu'il n' y est pour rien dans l'hegemonie du FLN et du RND. Qu'à cela ne tienne, mais moi, en lieu et place du président, considérant que les enjeux et entorses touchent la crédibilité de la nation entière et de son président, je me devrais de réagir. Ce que Bouteflika ne fait pas en ce moment, qui plus est ne dément ni n'approuve les déclarations graves de Louiza Hannoune qui remettent en cause l'autorité et la compétence de celui-ci.
2. Louiza Hannoune accuse des milieux de la Mafia mais se garde de critiquer l'armee, comme si notre armée etait manipulable à merci et est soumise aux volontés des cercles mafieux, ce qui n'est pas à l'honneur des grands dirigeants de cette armée respectable, compétente et consciente.
3. Louiza Hannoune accuse le ministre de l'intérieur de falsifier les résultats du scrutin, chose trop grave pour que ni le président de la république, ni l'APN, ni le Sénat, ni le conseil constitutionnel ne se sentent le droit et le devoir d'intervenir. Louiza parle comme si le ministre de l'intérieur est totalement autonome et pis, se comporterait comme un électron libre qui ne rend compte ni au premier ministre ni au président de la république. ce qui est totalement faux.
4. En dédouanant le président de la République et le premier ministre des résultats truqués des élections, Hanoune ignore ou feint d'ignorer que ces élections se font sous la responsabilité de l'un et de l'autre en tant premiers comptables de la légalité constitutionnelle dans ce pays. Qu'ont-ils fait pour sanctionner voire empêcher que de tels agissements soient bannis?
5. Hannoune parle du quatrième mandat. Personnellement méme si je n'ai aucune objection pour ce quatrième, Louiza se substitue à tout le monde. Ce qui n'est pas une façon démocratique d'envisager les choses qui concernent 36 millions de citoyens algériens. Et elle se dit démocrate et de plus, elle veut faire croire qu'elle lutte contre le comportement injuste des autres. Ce dérapage de la SGg du PT, nous montre qu'elle est loin de représenter une tendance populaire, au contraire qu'elle-même officie dans ces cercles d'influences mus par autre chose que les intérêts du peuple. Car Louiza Hannoune prend partie pour le président Bouteflika, qui est une personne et non une sensibilié ou classe sociale, bourgeoise, islamiste, berberiste soit elle.
Alors, je dis que Louiza Hannoune n'est pas sincère et que ceux qu'elle accuse de fraude sont plus honnétes. Louiza fraude dans le domaine de la communication avec le peuple, dans ses déclarations loin d'etre sincères. Elle ment à son peuple et son president de la Republique, ce qui est plus condamnable moralement
ALGERIE: violence contre les femmes
“En fait , dans les sociétés archaiques , la femme doit etre d'abord protégée contre les excés de son mari”L'honneur de l'homme archaique, le sacré gauche si vous voulez, réside dans la fidélité de “ses femmes”et l'infidélité des autres femmes “étrangéres”
Bien des femmes ont passé leur jeunesse d'épouses à étre matées,séquestrées ,au point où elles en sont devenues ' possédées” Maskounine” Bine sur , dans des cas pareils , si l'on ne connait pas la génése du mal historiquement crée ,le medecin n'a , non seulement rien à comprendre de la pathologie dont souffre la pauvre femme , malheureusement , mais aussi rien pouvoir faire avec ses produits chimiques. on conseille alors d'aller voir un taleb.

Kabylie:la violence contre les femmes
Publié 9 août 2008 dans algerie et kabylie ModifierViolence contre la junte féminine6 700 femmes victimes à Tizi-Ouzou !
La violence contre les femmes prend apparemment à Tizi-Ouzou, l’allure d’un phénomène inquiétant qui se généralise.
Une réalité très amère confirmée par les membres de la Ligue de la prévention et la sauvegarde de la jeunesse et de l’enfance de la wilaya de Tizi-Ouzou dans un point de presse tenu hier. Il s’agit, en effet, de la violence sous toutes ses formes verbales et physiques qui a atteint des chiffres alarmants, qui appelle à une intervention rapide des autorités compétents afin de mettre un terme à un phénomène ravageur pour la société. Il reçoit des statistiques communiqués par une animatrice du centre Lewhi-Repère de Tizi-Ouzou que plus de 6 000 femmes kabyles ont été victimes de la violence durant l’année précédente alors pour ce simple premier semestre de l’année en cours, il a été enregistré plus de 700 cas de femmes violentées. C’est donc un véritable SOS que lancent les membres de cette association dont le centre d’appel reçoit annuellement plus de 3 000 appels téléphoniques.Une raison suffisante, selon les conférenciers, pour mettre en place une cellule d’écoute formée par une équipe pluridisciplinaire afin de venir en aide à toutes ces femmes victimes ou en difficulté. Le fait idoine relevé par les animateurs de la ligue est indéniablement ce fait que ces femmes ne daignent pas porter plaintes mais se confient dans un silence total.Pour ce qui est du centre Lewhi-Repère, il faut savoir qu’il est soutenus par des organisateurs étrangers, les fonds de la fondation santé et communauté ( Espagne), puis récemment par le comité italien de soutien aux peuples. Toutefois disons que malgré l’ampleur du projet de ce centre et ses ambitions, il demeure que les moyens lui font cruellement défaut.La secrétaire générale du dit centre espère à ce sujet que les pouvoirs public s’impliqueront afin de permettre un fonctionnement normal de son organisation. Dans ce sens, on apprendra que le principal bailleurs de fonds contribue à raison de 80% et attend que l’Etats fasse de même pour les 20% restants soit un peu plus de 250 millions de centimes sur le budget annuel de fonctionnement. Une ONG italienne contribuait à raison de 850 000 euros. Cette dernière a revu à la baisse sa contribution ramenée à 280 000 euros… Cet état de fait peut handicaper le fonctionnement du centre où travaillent 18 salariés ainsi que 17 employés à temps partiel qui font don de 10% de leur salaires.
A. Z.
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iferhounene : la chienne du capitaine Wolf participait aux actes du colonialisme français
France-Algerie :1954-1962
La Kabylie et le 6° BCA s’en souviennent
Par
Abdenour Si Hadj
Michel Rocard était parmi les premiers hommes à le savoir, à l’écrire. Les enfants, les femmes et les vieillards algériens ont souffert le martyr. Dans des camps de concentration. Sans nourriture, sans soins.
Mais d’autres comme Roger CONROUX, l’ont dit aussi. Je leur suis reconnaissant, moi fils de fellagha, victime non pas « d’un groupe terroriste », mais bien d’une organisation étatique militaro politique, violente, inique, …colonialiste. Nous avons cité Rocard, nous ne lasserons pas de citer CONROUX, mais nous ne devons jamais passer sous silence cet autre homme d’une discrétion exemplaire et d’un humanisme immense qui est Jean BOULANGER. Son livre « Cette guerre n’est pas la mienne » paru aux éditions les écrivains, puis sous le titre « la guerre vécue par un chasseur alpin » aux éditions publibook, est à ce titre un témoignage très édifiant.
D’autres encore, la liste très longue, fort heureusement, dont le cœur et l’esprit dans des moments où le choix n’était volontaire, ont triomphé sur l’instinct bestial.
De simples soldats, des gradés de tout niveau, mais aussi des hommes politiques, à contrario, ont excellé dans la barbarie. Je ne citerai que ce lieutenant Pelardi , de ceux que cette armée désignait par ces trois lettres anodines FSE et M.AIT M, faisant partie de ceux –là qui , pour la France coloniale ne pouvaient être confondus avec les métropolitains et qu’il fallait nommer FSNA.
De Gaulle l’avait-il compris, ou bien faisait il partie de ceux, pour qui tous les algériens étaient à réduire à défaut de pouvoir les réduire, Sinon que signifierait sa phrase restée lapidaire « je vous ai compris ! »
Comme meilleur message, je me permets de reproduire un paragraphe de Roger CONROUX extrait de son ouvrage « la Kabylie des chasseurs alpins – terre de nos souffrances – édition des écrivains -2001 - intitulé : « Conscience perdue »
Ecoutons le :
« L’utilisation d la force et de la violence, toutes ces actions menées tambour battant, que fallait il en retenir ? Tout conflit compte une part de folie. Les hommes se laissent aller à perpétrer des actes incontrôlés, dont souvent la bêtise frisait l’impensable et cela même avant que quiconque ait pu les ramener à la raison. Leurs gestes et leurs paroles auront commis l’irréparable, dont l’absurdité n’engendrera que la déception.
Modelés par tant de souffrances répétées, les plus inébranlables laissaient entrevoir quelques faiblesses. Parmi tous ces éléments nuisibles, leurs carapaces se fissuraient et sans aide il serait bien difficile de reprendre la direction du droit chemin. Des repères sains, des appuis solides étaient indispensables pour revenir sur la voie de la bonne conduite. Chacun portait sa part de responsabilité, mais à quel degré de l’échelle ?
L’être humain qui perd sa capacité à réfléchir, à penser se met hors circuit et dans ce bourbier, c’était le lot de certains. Les accrochages et les investigations dans les villages donnaient parfois lieu à des comportements étranges, somme toute isolés, mais effectifs et se retrouver entre leurs mains signifiait la plupart du temps humiliations et souffrances.
J’ai encore en mémoire les interrogatoires menés par ces hommes là. Chez eux l’excitation avait atteint des proportions insoupçonnées et leurs paroles atteignaient l’inacceptable. Certaines sont gravées dans ma mémoire. C’était l’humiliation, la destruction de l’adversaire au plus profond de lui-même. Paroles et gestes n’étaient qu’injures et brutalités. Le prisonnier n’avait plus rien d’humain, lorsqu’il se trouvait entre leurs pattes, personne ne méritait pareil traitement. Et les tortionnaires semblaient se régaler. Ces pratiques me révoltaient et ces manières barbares détruisaient autant les bourreaux que tes torturés. A ce jeu, il n y aurait jamais de vainqueur, c’était l’affrontement entre l’absurdité du comportement du bourreau et l’idéal défendu par le torturé. Les individus se défiaient dans des duels inutiles et meurtriers et dans tous les cas préjudiciables à l’humanité.
Le vainqueur s’acharnait sur le vaincu, il fallait le supplicier, le détruire. La guerre, semble t-il, leur octroyait tous les droits. De retour d’opérations, après un léger accrochage avec le FLN, certains s’en étaient donnés à cœur joie. Alors que la discipline, quelque peu relâchée, leur avait fait croire qu’ils pouvaient se laisser aller à commettre des exactions. Ils avaient fait main basse sur toutes les provisions du village, renversant les étalages. Conscients que cette nourriture, servait à ravitailler les maquisards, ils avaient mis encore plus de hargne dans leur saccage, éventrant d’énormes potiches en terre cuite qui servaient à stocker figues, olives, huile. Fruits d’une période de dur labeur, ces réserves permettaient sans doute à toute une population montagnarde de subsister pendant la mauvaise saison qui n’en finissait pas de durer.
Ces actes gratuits m’affectaient toujours aussi profondément et je faisais tout ce qui était en mon pouvoir afin d’éviter ce relâchement des consciences qui transformait l’homme en bête malfaisante. » P227/228
Abdenour Si Hadj, auteur algérien d’origine Kabyle, paradoxalement, situé de l’autre coté de la barrière nous confirme cet état des faits :
« Ce genre d‘actes barbares n’est pas un fait isolé, puisque il est érigé en système pour acculer , affamer les maquisards , selon les stratèges militaires français, alors qu’il frappaient au cœur de la masse , de la population entière . Une population déjà fortement éprouvée par la misère, les maladies.
En lisant Conroux, Comme Rocard et bien d’autres hommes, il me revient à l’esprit ce traumatisme de façon récurrente, que j'ai subi, dans des circonstances identiques et que j’ai relaté dans mon livre « les troupes du colonel Amirouche « en cours d’édition.
« J’avais 9 ans ; à iferhounene sous occupation de la 6°BCA- compagnie commandée par les capitaines Favier et Wolf,… les adultes étaient isolés des enfants … les femmes maltraitées, la chienne du capitaine était mise à contribution. Toute la journée nous étions parqués dehors, attendant que nos parents, vieillards, femmes soient relâchés. Les hommes valides ont tous été tués ou ayant rejoint le maquis. La mort, pour nous ne résultait pas à nos yeux d’un accrochage. On pouvait souvent mourir sous la torture ou encore chose horrible, innommable par la corvée de bois, tristement célèbre pratique, barbare, aux mains de jeunes soldats français souvent innocents. pendant les commanditaires s’évadaient dans des rêves artificiels procurés par le whisky et autres boissons enivrantes.
Oui ! Ce jour quand ma pauvre mère après une journée, privée de nourriture, matraquée par un harkis, en présence du lieutenant, elle a eu les dents casses, et un traumatisme crânien, …. Il lui restait la voix et le courage pour me dire « vas y Fiston à la maison. Tu trouveras quelques œufs dans le trou du mur. Je sais que tu te débrouilleras pour les faire cuir. Vas ! Fissa ! » Ce que je fis. Mais, arrivé à la maison « ouest » en kabyle akhem agharvi, dont la porte d’entrée, fait face à l’ouest cardinal. En plongeant ma petite main dans le trou du mur, je n’ai rencontrée que le vide et le froid, de ces murs construits en pierre plate, en argile. En promenant mon triste regard sur les murs noircis par la fumée du Kanoun kabyle, mes yeux tombèrent sur les impacts d’oeufs fraîchement brisés contre le mur. Il ne restait plus rien à se mettre sous la dent, pour cette fin de journée trop mouvementée à mon esprit d’enfant. Enfant de 9 ans, non moins fils, doublé de frère de fellagha, de surcroît tous deux tués par les ordres de ces capitaines, lieutenant Pelardi associés à ces harkis, dans cette salle besogne.
On m’en voulait donc à mort et qu’à ce triste prix doit doit être arraché. Il ne fallait rien attendre de bien de ces colonisateurs.
Leur action était en fait dirigée contre le peuple algérien ; hommes, femmes, enfants, vieillards tous confondus. Pour la France coloniale, la population algérienne dans son intégralité, doit être affamée, spolié, castrée, pour le grand bien des FSE » de la métropole.
France-Algerie : les Mémoires des fils de Harkis contribuent-elles à l'écriture de l'histoire?
Zahia Rahmani :"Mose" S. Wiespieser, 2003
Moze est un harki qui a échappé à la liquidation réservée par le FLN à ceux en qui il ne voyait que des traîtres. Emprisonné en 1962, il s'évade en 1967 et parvient à gagner la France avec sa famille. Là, il s'enferme dans le silence, sombre dans l'alcool, est pris de crises au cours desquelles il terrorise sa famille. Moze a un secret, mais en travers de la gorge. Le 11 novembre 1991, il salue le monument aux morts du village et va se jeter dans la mare.
C'est dix ans après que sa fille, la narratrice, l'auteur, tente d'expliquer et de comprendre. A Moze, tout fut confisquer, dénié. Moze n'a rien, n'est rien. Moze est mort avant sa mort. Il ne fut pas un père, pas un soldat, pas un civil, n'eut pas de patrie ; trahir ses frères lui enleva son ascendance, la trahison du pays qu'il crut servir lui enlève sa descendance. Moze est dépossédé de tout, même de sa dépossession. Pas de place en Algérie pour le corps du traître, pas de lieu parmi les morts, pas de place dans le souvenir des vivants, honte à sa mémoire, lui qui leur avait appris la honte de leur honte.
Un jour, la fille entend un politicard quelconque dire "nous ne serons pas les harkis de la droite !" Voilà l'insulte que lui a léguée son père, voilà l'accueil que la France réserve au souvenir de ceux dont elle fit ses zombies.
Oui, sans doute, mais quelque chose est sauvé, réparé, ce n'est pas la commission nationale de réparation qui l'a fait, c'est le travail d'une femme devant les instances de la langue que son père, qui la parlait mieux que ses maîtres, lui a donnée. Salut, Moze, longue vie à ta mémoire...
Montréal : qund ça givre dans la nature ça chauffe dans les coeurs
Ce givre que le jour a fait naître
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Algerie : à chacun son cheval de bataille
La campagne électorale et les résultats des élections ont donné libre cours à des déclarations sinon bizarres du moins significatives au plan politique.
Ainsi à travers leurs déclarations, les leaders des partis politiques peuvent être identifiés non pas par leurs idées politiques mais par leur appartenance au clan prétendant à une portion de pouvoir en Algerie.
Ainsi nous pouvons donner cette classification grossiere certes mais sans aucun risque d'erreur :
Louiza Hanoune, malgré ses déclarations tonitruantes et contradictoires, reste toujours fidèle à Bouteflika et son premier ministre
Amara Benyounes est incontestablement le candidat de l'armée.
le FFS reste un parti de la coalition gouvernementale
le RCD : véritable parti d'opposition
TAJ : UN PARTI PRESIDENTIEL
alliance verte : opposition islamiste
Ait Hamouda Amrane : opposant radical au système en place
Ahmed Ouyahia : un candidat potentiel à la presidence 2014
Algerie : Amara Benyounes, un jeune président de la République?pourquoi pas?
Algerie : à chacun son cheval de bataille
La campagne électorale et les résultats des élections ont donné libre cours à des déclarations sinon bizarres du moins significatives au plan politique.
Ainsi à travers leurs déclarations, les leaders des partis politiques peuvent être identifiés non pas par leurs idées politiques mais par leur appartenance au clan prétendant à une portion de pouvoir en Algerie.
Ainsi nous pouvons donner cette classification grossiere certes mais sans aucun risque d'erreur :
Louiza Hanoune, malgré ses déclarations tonitruantes et contradictoires, reste toujours fidèle à Bouteflika et son premier ministre
Amara Benyounes est incontestablement le candidat de l'armée.
le FFS reste un parti de la coalition gouvernementale
le RCD : véritable parti d'opposition
TAJ : UN PARTI PRESIDENTIEL
alliance verte : opposition islamiste
Ait Hamouda Amrane : opposant radical au système en place
Ahmed Ouyahia : un candidat potentiel à la presidence 2014
Dieu est le suprême juge de nos actes.
il vaut mieux etre vengé par Dieu que par soi-méme
Lybie : ceux qui ont malmené puis exécuté sauvagement Khadafi ne l'ont pas fait au nom d'Allah
Algerie: qui sera président en 2014?
Il y a tout lieu de croire qu'un clan composé de partis politiques instrument du vrai pouvoir central caché, s'est constitué autour du poste de président de la République, seul détenteur réel d'une parcelle de pouvoir, car le vrai pouvoir est entre les mains , non pas de l'armée mais d'un groupe puissant hétéroclite
ce sont aujourd'hui, paradoxalement les partis partis agrées et favorisés, sponsorisés et choyés qui réclament hypocritement d'ailleurs un quatrième mandat pour bouteflika alors que himself est prêt à céder sa place(discours de Setif).
C"est dire que c'est le règne de l'hypocrisie, mais faut tout de méme reconnaître la franchise de certains hommes dont fait partie Ahmed Ouyahia qui reconnaissent, ou en tous les cas qui se posent la question en ces termes " cet éventuel quatrième mandat présidentiel, serait-il envisageable en l'état actuel des choses pour le bien et l'intérêt de la nation et du pays ?"
iferhounene n'est bien sur pas de ceux qui considère qu'un quatrième mandat est bénéfique aussi bien au pays qu'au président lui-même. Il est au contraire méme tentant de conseiller à Abdelaziz Bouteflika de se retirer pour profiter de son " parcours du combattant" pendant qu"il est en vie, pour un repos du reste bien merité. Ce qui permettra de décongestionner la situation et de remettre les pendules à l'heure et la machine en marche en lui impulsant une vitesses supérieure . Nous verrons que certains ténors qui se proclament hypocritement du soutien au président, perdront toute legitimité puisque ils agissent par induction, par hypocrisie en louvoyant et en visant des objectifs autres en réalité. Monsieur l'ex ministre de la santé et non moins "ennemi opportuniste de Ahmed Ouyahia au RND" a raison sur toute la ligne mais que cependant il avait omis d'ajouter que cette position de soutien hypocrite à Abdenlaziz Bouteflika concerne tous les hommes politiques en vue dans notre pays et je cite : Louiza, BELKHADEM,Amara Benyounes, et beaucoup d'autres....
Des lors nous déduisons que ces soutiens hypocrites, on le decouvrira ne pourront se prévaloir à l'avenir de programme tangible et efficient. ils seront mis à nu et devant leur mediocrité.
Que deviendra alors Louiza Hannoune, et que sera la credibilté de Belkhadem, ou encore quel sens donner à cette alliance qui s'accroche au pouvoir en faisant valoir uniquement un soutien à un président en exercice qui du reste n'approuve pas leur contribution à la réalisation de son programme de développement.
L'armée? Ah! cette armée que l'on accuse de tous les maux et par tous les mots. En fait ce n'est pas l'armée qu'il faut vilipender à tout bout de champs, mais un clan qui n'est pas forcément constitué exclusivement de militaires. Car il y a ces hommes de l'argent sale, que Louiza a peut être raison d'accauser et diaboliser à travers les fraudes électorales élections précédentes.
Revenons donc à l'armée: elle doit se démarquer de la politique, dans l'intérêt du pays, car l'image donnée à l'extérieur et à l'intérieur malheureusement par son implication dans la confection des élections sur mesure.
les choses vont mal en Algerie, et ce n'est pas seulement en ce qui est de la démocratie. car la démocratie ce n'est pas dire ce que l'ont veut mais faire ce que la majorité a décidé. Or force est de constater que tout se fait à huis clos. des décisons importantes qui touchent l'ensebmble des citoyens sont prises par des dictateurs en puissance à tous les échelons de la hiérarchie sans consultation des institutions représentatives. l'avenir du pays est entre les mains de quelques personnes. et Dieu sait que nous avons des choses intelligentes méme à dire dans l'intérêt de notre nation, mais on nous barre la route, on nous interdit les moyens de communication qui appartiennent au peuple algérien pendant que l'argent du peuple sert à sponsoriser des rapaces et profiteurs sur le dos du peuple et contre le peuple.
le départ de Bouteflika va bouleverser le champ politique en Algerie. en particulier si les tenants du pouvoir militaire acceptent de jouer le jeu, et ce sera pour le bien-être de la nation entiere. Mais si ce clan du pouvoir continue dans sa lancée aveugle, nous nous retrouverons face une impasse qui débouchera sûrement sur une intervention étrangère d'une manière ou d'une autre au prétexte que la démocratie n'est pas respectéee en Algerie. Oui en fait et je le dis bien, la démocratie n'est pas en vogue en Algerie dès lors que nous ne sommes pas ecoutés, et que des ténors au gosier sonores sont préférés à nous qui portons dans notre coeur l'avenir de nos jeunes, nous qui avons vécu dans l'ame meurtrie la colonisation. l'arrogance de Louiza et de belkahdem et même l'autoritarisme de Ahmed Ouyahia, le cynisme de Amara Benyounes , ou la filouterie de Ghoul,conjuguées à une propagande insidieuse d'une presse étatique complice , interdisent l'intervention dans l'auditoire de toute autre voix aussi démocrate soit-elle. en fait en Algerie, pour être écoutée et entendue , il faut etre Louiza Hannoune, Belkhadem, ou supporter du système en place. En fait, il faut crier haut et fort le slogan " quatrième mandat pour Bouteflika"
Moi je ne soutiens pas le systeme en place , alors on me refuse la prise de parole y compris par des écrits qui pourtant sont silencieux ( je pense aux écrivains et journalistes marginalises qui sont dans le méme cas)
Moi , je dis qu'un quatrième mandat ne doit pas être un objectif en soi, il ne constitue pas un programme. le programme peut être élabore par les représentants du peuple et appliqué par les instances concernées, sous l'oeil vigilant du premier magistrat du pays qui pourrait être Amara Benyounes( oui je ne plansante pas) ou Said Sadi ou encore un autre algérien pourvu qu'il soit honnéte. Sinon dites-moi comment concevez-vous cette présidence de la république pour une Algerie pour tous
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Nov 13 2012 | more articles from Zawya |
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Mais je n'attendrai par l'an prochain - Dieu sait pourquoi - pour commémorer le cinquantenaire de la mort du sous-lieutenant François d'Orléans en Algérie, qui, des contemporains de cette grande famille, fut le plus sûr visage de candeur et pureté. J'ai rencontré de ces jeunes chefs de section dont le regard clair, la conscience professionnelle et une amabilité naturelle qui faisait toute leur autorité, laissaient voir qu'ils n'étaient pas dans les cadres naturels pour lesquels Dieu les avait créés. Il y en avait pas mal dans les pelotons de cyrards qui venaient passer leur examen tactique entre le bois en triangle et le bois en croissant de Münsingen. En d'autres temps, on les aurait appelés la "fine fleur du pays". En général, ces sous-bites juste tombés du moule en sauvent l'honneur...
Après être passé par le Groupement d'instruction de la brigade parachutiste d'outremer (GIBPOM) à la caserne Bosquet de Mont-de-Marsan (1ère section "EOR" de la 2°compagnie d'instruction en nov-déc.58), il fit son application "infanterie"à Cherchell en Algérie (promo 904 de 1959) et fut envoyé comme sous-lieutenant en Kabylie avec le 7°BCA (Bataillon de chasseurs-alpins) dont il commandait une section. Il mourut à l'âge de 25 ans sur le territoire de chasse du 6°BCA que son unité était venue relever dans le district de Michelet¹. Le 11 octobre 1960 près du village de Taourirt Ali Ounacer en plein massif du Djurdjura, réputé alors comme une zone fellagha, il fut touché mortellement dans une embuscade, en manoeuvrant pour dégager l'un de ses harkis. Je n'ai pu trouver le récit exact du combat fatal au jeune prince d'Orléans, mais on peut assez bien l'imaginer.

J'avais prévu de développer ce billet sur la coexistence entre nous et l'islam. J'ai quelques réponses que je soumettrai plus tard. L'autre voie était celle des harkis qui pour beaucoup de Français restent une énigme. C'est la seconde que je prends.
François d'Orléans (1935-1960) est le quatrième enfant du défunt comte de Paris qui en eut onze. Il fait ses études secondaires à Saint-Martin de Pontoise pour entrer ensuite à l'Institut supérieur agricole des Frères des Ecoles Chrétiennes de Beauvais, où il obtiendra son diplôme. Appelé en Algérie comme presque toute sa génération, il est moins désorienté que d'autres pour avoir connu le Maroc espagnol où résidera quelques temps sa famille. Mais c'est sans doute moins riant de retrouver l'Afrique du Nord dans une Kabylie en guerre, qui pis est en guerre asymétrique avec son contingent d'horreurs indicibles. Le 7°BCA ne laissera pas de traces sanglantes comme le 6°BCA, ses officiers devaient être un poil meilleurs.

La Grande Kabylie misérable et montagneuse fut un vivier de recrutement tant de l'ALN que de l'Armée française, à tel point qu'on y vit de la concurrence et quelquefois des transfuges d'un camp à l'autre. De simples bergers, quelquefois cultivateurs de pentes ingrates et de quelques oliviers en fond de vallon, le plus souvent tiraillés par la faim, avaient retrouvé les réflexes de l'époque des Mokrani et rendaient le pays peu sûr. Les témoignages d'unités de terrain abondent pour avouer que la colonisation positive n'avait pas abordé la haute Kabylie et qu'en certains hameaux, nos soldats furent les premiers Français à apparaître. Il est sûr que les fellaghas pas plus que les harkis issus de ce pays n'eurent le choix que la terreur ordinaire leur imposait, ce qui n'enlève rien au courage de chacun. Le site d'Iferhounéneexplore cette époque dans le district de Michelet (justement).
La répression atroce qui s'est abattue à la fin sur les supplétifs algériens de l'Armée française participe de cette barbarie dont le pays porte le nom. Les ministres gaullistes de l'époque, dans le droit fil de l'imperturbable mépris du Haut-Mékong pour tout contempteur, portent une lourde responsabilité dans l'abandon des Algériens enrôlés et leur massacre. Si près de 40000 algériens (supplétifs et famille) finirent par atteindre la France grâce à la désobéissance de certains officiers qui ne voulaient pas se commettre avec le cynisme de Paris, la grande majorité fut exterminée et leurs éventuels descendants ostracisés. Une amnistie avait été prévue aux Accords d'Evian, comme on finit par la voter à la fin de toute guerre civile, bien que la sauvagerie du FLN fut de notoriété publique³. Hélas pour eux, ils finiront dans des conditions atroces. Il faudra attendre la loi Bouteflika de concorde civile de 1999 pour saisir que les GIA salafistes étaient recrutés souvent parmi les fils des harkis bouillis de 1962 !

- C’est d’abord l’esprit d’équipe, de mon équipe
- C’est la rapidité dans l’esprit de gens qui pigent et qui galopent
- C’est l’allant, c’est l’allure, c’est le chic
- C’est pour les chefs le sens social du commandement, c’est l’accueil aimable
- C’est servir avec le sourire, la discipline qui vient du cœur
- C’est le dévouement absolu qui sait aller, lorsqu’il le faut, jusqu’au sacrifice total
Le 7°Bataillon de chasseurs alpins fut levé comme "chasseurs à pied" en 1840 à St Omer par le Duc d'Orléans ! Aujourd'hui la marraine du bataillon est la princesse Hélène d'Orléans, sœur du sous-lieutenant François.

Note (1): aujourd'hui Aïn el Hammam sur la RN15 au sud-ouest de Tizi Ouzou.
Note (2): aujourd'hui Institut polytechnique La Salle Beauvais.
Note (3): un bon article de la wikipedia sur les supplétifs algériens en cliquant ici.
Postscriptum (5.11.11): évocation du Slt François d'Orléans en opérations en Kabylie sur Iferhounene.blog avec photo du certificat de décès signé par le capitaine Wolf (6°BCA), extrait de l'ouvrage de Salah Mekacher "Aux PC de la Wilaya III 1957-1962", accessible (ici). Il y a des incohérences dans la page citée et le travail tient plus du "roman historique" dans lequel on capte la noblesse de l'adversaire pour enjoliver son ordinaire ; mais nous le versons au dossier.
Si l'article vous a plu ou déplu, vous pouvez aussi le faire suivre à un ami en cliquant sur la petite enveloppe ci-dessous :
31 commentaires:
- Camisard11/10/09
Les Harkis......
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Pourquoi la "3° generation" (la deuxieme née en France) se comporte t elle plus comme ses "compatriotes" issus de l'immigration que comme des Français de souche.....
Les harkis sont l'exemple qui me fait dire que des gens comme Alain Sanders ont raison:
"Le droit du sol, c'est cette aberration qui équivaut à prétendre qu'un cheval né dans une étable serait une vache..." En réponse à Camisard : Ils pourraient l'être, ou le devenir, comme hier des fils de romains sont devenus Kabyles. Comme des gens de là-bas, même autres que kabyles, peuvent s'ils le veulent devenir Français. Il y en a d'ailleurs, mais on ne les voit pas. Pour la raison justement qu'ils respectent cette civilsation-ci, ce qui n'en fait pas pour autant des négateurs de ce qu'ils ont reçu de la leur.
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Resteront les problèmes tant qu'on acceptera, (avec l'aide directe ou prétextée) que leur apportent trop de royalistes, les équipes de l'actuel système, qu'il s'agisse de la présente, ou de la similaire mais cependant beaucoup moins nocive version attendant l'alternance. Les problèmes, tous les problèmes viennent de là, et pour en sortir, il n'est que de donner autre chose que ce que l'on connaît ou ce qui a échoué.- Camisard12/10/09
Je persiste et je signe...
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D'un coté les principes, de l'autre la realité......
Sinon je suis d'accord avec vous: les fils d'italiens de polonais et tant d'autres sont devenus de "bons français" sans n'avoir rien renié......
Pas les fils de harkis.......Ce n'est pas un jugement , c'est un constat!
Et ça devient lassant de toujours chercher des excuses......On n'a pas fait de courbettes (ni donné de subventions, ni d'emplois reservés) aux descendants d'italiens dont je suis issus pour qu'ils s'integrent...... - Catoneo12/10/09
Sur la portée de Royal-Artillerie, ce billet est un "soupir". Parlons de François d'Orléans, jeune officier généreux, courageux, et de grande simplicité.
Répondre - Eutrope13/10/09
Nous pouvons avoir du respect pour le Prince François et ses camarades morts dans une guerre inutile et perdue d'avance.
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Quant à parler de lui, comment pourrions-nous le faire? Nous (et j'entends par là les gens de ma génération) ne l'avons jamais connu pas plus d'ailleurs que tout ce que votre message évoque... L'indépendance de l'Algérie est aujourd'hui jugée inéluctable, même si le pays n'a rien su en faire, sauf d'exporter son surplus de main d'oeuvre en Europe, particulièrement en France (gag!).
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L'Algérie est une dictature militaire sans ambitions mais en civil.
Les reproches concernent d'abord le gouvernement français de l'époque et le FLN, associés dans une partie de poker menteur qui allait jeter à la mer un million de compatriotes dans des conditions inhumaines, sous le regard imperturbable et froids des gaullistes d'ici.
Le Slt François d'Orléans et tous ses copains qui y sont restés, ne se battaient certainement pas pour ça.- Anonyme14/10/09
Les Elèves-Officiers de l’Ecole Militaire d’Infanterie de Cherchell ,en Algérie alors Française,et plus particulièrement ceux de la Promotion “Sous-Lieutenant François d’Orléans”, commémoreront le 11 Octobre 2010 le cinquantenaire de la mort au Champ d’Honneur de leur regretté camarade et prestigieux Parrain de Promotion.
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Concernant la mort du Sous-Lieutenant François d’Orléans on peut visionner les deux vidéos de ci-dessous proposées par l’INA :
http://www.ina.fr/politique/gouvernements/video/CAF94073152/cherchell-promotion-francois-d-orleans.fr.html
et
http://www.ina.fr/histoire-et-conflits/guerre-d-algerie/video/AFE85008862/les-obseques-de-francois-d-orleans.fr.html
Contact : j.albertini@noos.fr - Catoneo16/10/09
Merci Albertini, mais il aurait été intéressant de connaître le retex de cette embuscade.
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Il est dommage qu'aucun des subordonnés du Slt François d'O. n'ait eu l'idée de publier ce récit. - Anonyme14/11/09
Francois d' ORLEANS n'est pas mort dans une embuscade,il est mort face a son ennemi qui lui a tire un coup de fusil de chasse en pleine poitrine;j'etais ce jour la radio de la section de commandement du commando V11 en appui des chasseursil n'y a pas eu de prisonniers au cours de cette operation.mon indicatif etait PIVOTANT AUTORITE:
Répondre Mille fois merci de cette intervention, on ne trouve nulle part de relation de l'opération qui lui a pris la vie. Et même du lieu exact que l'on pourrait identifier sur la carte.
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Accepteriez-vous de faire une relation technique de cette journée, ou bien, si vous ne désirez pas rédiger vous-même, nous donner les éléments de la progression afin que nous rédigions, avant de vous soumettre le récit reconstitué pour validation.
C'est vraiment une excellente nouvelle votre commentaire.- Anonyme16/11/09
je vais faire des recherches sur les cartes topographique de l'epoque et je donnerai plus de precisions sur la mort de francois mais il faut savoir que les chasseurs qui etaient avec lui ont eu pour consigne de ne jamais parler de cette affaire:nous n'avons su que c'etait francois que le lendemain car les fels avaient aussi la radio
Répondre - Anonyme24/11/09
Bonjour,
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Je travaille sur l'histoire de la guerre en Kabylie. Dans le lot j'écris un chapitre sur les circonstances de la mort de F. d'Orléans. J'ai appris que sa section a encerclé trois moussebline qui seront d'ailleurs morts au combat. Mais sans plus. S'il y a des personnes qui peuvent apporter des précisions sur la présence du 7e en ces lieux, pourquoi ? etc, ce serait salutaire. - Anonyme8/12/09
Le sous-lieutenant F. D'Orléans a été tué par un tir de chevrotines. Ce matin-là du mois d'octobre 1960, trois maquisards sont pris dans un ratissage. Mis à couvert rien, ni les tirs de mitrailleuses, no les grenades n'ont réussi à les déloger. Les trois hommes tinrent tête à la section de chasseurs. Ce qui agaça le sous-lieutenant qui tenta de s'approcher de ces hommes. Mais il fut tué. Les trois maquisards seront aussi tué par la suite.
Répondre Merci beaucoup de ces précisions. On commence à comprendre.
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Les mousseblines évoqués dans le commentaire précédent n'étaient donc pas que les "coolies" de l'ALN mais savaient aussi tenir une position.- Anonyme19/12/09
Le sous-lieutenant François n'a pas laissé de bons souvenirs en Kabylie contrairement à ce que vous affirmez. Les villageois d'Aït Ali Ouharzoun où était stationné le 7e BCA se rappellent surtout de ses harrangues et menaces devant une assitance composée de femmes, d'enfants et de vieillards. surtout ce jour où il a exposé avec ses hommes le corps d'une femme, Zahra qui porte le nom d'une école, tué sous les tortures. Ah ils étaient courageux les gars du 7e BCA !
Répondre Je n'affirme rien sur les opérations de la section du SLt d'Orléans en Kabylie. Relisez l'article.
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Par contre votre assertion mériterait que vous leviez l'anonymat.- Anonyme19/12/09
POurquoi refusez-vous d'avancer des choses sur la section du SL d'Orléans ? Sans aucune once de haine, pourquoi ne pas profiter de ce genre de forum pour recouper des infos entre les anciens chasseurs et les Kabyles qui ont vécu l'occupation et connu la période ? Il urge de dépassionner et dépasser certains événements et s'incrire dans l'histoire. Je vous renvoie par exemple au site d'un ancien chasseur qui cite le SL d'Orléans au passage. http://jcborrel.blog.lemonde.fr/
Répondre Où avez-vous pêché que je refusais la relation des évènements qui ont entouré la mort au combat du SLt François d'Orléans ?
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Donnez-nous ce que vous avez collecté.
Pouvez-vous à l'occasion nous donner l'url du (des) billet(s) de JC Borrel parlant de ce que vous évoquez, car son site est très fourni.
Merci.- Anonyme20/12/09
Le sl d'Orléans était sous le commandement du si bien nommé capitaine Bandit. Cet officier aimait particulièrement lâcher ses obus sur les villages au moindre soupçon de présence de maquisards du FLN. Tout le monde savait que les mortiers était réglés tout le temps sur les positions des hameaux environnants. Je ne peux dire plus sur les agissements de ces deux officiers ainsi qu'un autre, nommé lieutenant François, tué dans une embuscade par un chef maquisard. Je ne peux livrer le tout pour l'instant. Mais sachez que je n'ai aucune haine pour ces hommes qui n'étaient que des maillons. Il n' ya pas de guerre propre, ce que je n'apprécie pas c'est le révisionnisme qui caractérise certains témoignages. En attendant voici le lien de cet ancien chasseur : http://pagesperso-orange.fr/jcborrel/kabyliesommaire.html
Répondre - Catoneo20/12/09
J'ai lu le carnet de campagne du Sgt Borrel qui est très intéressant mais ne nous apprend pas plus que les nombreux ouvrages sur l'Algérie française.
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Je trouve que vous amalgamez un peu vite le "Slt François" aux dérives de la guerre asymétrique, car il n'y est cité que deux fois. L'une pour un poste mal tenu, mais le Sgt Borrel n'est-il pas tombé dessus une mauvaise semaine ?
L'autre pour une séquence assez classique hélas de "guerre psychologique villageoise", où il n'est affirmé nulle part qu'il soit à l'origine du décès de l'agent de liaison ALN, encore moins de son interrogatoire.
C'est tout. Et si je comprends bien, personne n'en dit plus.
Votre approche est faite d'insinuations. - Anonyme21/12/09
Je conviens que tel que présenté, il y a de l'insinuation dans le propos. S'il n'est pas à l'origine de la mort de cette femme, il n'a pas pour autant hésité à exploiter sa mort. C'est de bonne guerre dites-vous ! Cependant, j'insiste concernant le poste d'Aït Ali Ouharzoun, la population locale garde de très mauvais souvenirs sur le comportement des chasseurs du 7 BCA. Mais ce n'est pas le lieu de parler de ces témoignages. Encore une fois c'est dommage qu'on ait pas le témoignage des chasseurs du 7e sur leur passage. J'ai lu celui d'un ancien du 6e à Michelet. Un peu décevant. Trop partial et trous de mémoire. Si on veut avancer, l'histoire doit s'écrire entière pas en pointillé. Et cela vaut également au FLN qui n'est pas indemne d'exactions.
Répondre - catoneo22/12/09
Réécrire l'histoire sur un petit bout de territoire n'est pas chose aisée. Les résidents privilégient leur approche dans leurs témoignages qui ne peuvent jamais être impartiaux. On ne peut l'exiger d'eux alors que les historiens professionnels n'y arrivent pas eux-mêmes.
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Le volet "guerre psychologique" est partie intégrante de toute guerre asymétrique. Les penseurs comme Mao-Tsé-Tung l'ont très bien expliqué.
Dans la cas qui nous occupe, il n'est noté nulle part que cette "corvée" du défilé villageois devant le cadavre d'un ennemi ait été accomplie de gaîté de coeur de la part du chef de section.
Quant au malaise des habitants des villages, il est bien compréhensible dès lors qu'une troupe s'installe en zone d'insécurité dans la meilleure maison, la fortifie et contrôle tous les abords.
Je note aussi que les militaires assuraient quand même une fonction de dispensaire. Ailleurs, des camarades ont assuré une fonction d'école primaire qui a donné de bons résultats.
Mais le terrorisme de l'ALN n'est pas accessoire dans l'explication des évènements. - Anonyme22/12/09
Il ne s'agit pas de réécrire l'histoire, on n'a même pas commencé de l'écrire. Témoignages de résidents ? pourquoi le mot résidents, ils ne sont pas seulement résidents, ils sont les enfants naturels de ces montagnes, les autres, les militaires sont une force d'occupation comme les nazis en France. N'est-ce pas ? Ensuite, je ne connais pas de force militaire qui investit un village sans lui demander son avis pour soi-disant le protéger. Mais de qui ? L'école parlons-en. D'abord je vous rappelle que les sections de chasseurs ont occupé systématiquement les écoles où il y en avait poussant enseignants et élèves dehors. Certaines de ces écoles serviront de centres de tortures. Bien plus tard, ils ont commencé à ramasser les enfants dans des camions militaires. Pourquoi traiter la résistance de l'ALN de terrorisme ? Depuis quand défendre son pays est synonyme de terrorisme ? En votre âme et conscience si vous étiez à la place de ces Kabyles qu'auriez-vous fait ? Collaborer ou résister pour libérer votre terre ? Cependant dans le lot, bien que je sois jeune j'ai rencontré beaucoup de chasseurs qui n'ont rien des sanguinaires qui ont marqué nos terres. Ceux-là honorent leur pays, la France.
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Recevez mes sincères salutations Ecrire l'histoire est un métier. Ce n'est pas le mien, ni apparemment le vôtre.
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Ce qui peut être collecté utilement ce sont les faits avérés et les témoignages de première main (pas les récits de récits).
Il faut aussi s'en tenir au premier sens des mots, c'est plus sûr pour passer le bébé ensuite aux vrais historiens.
Les résidents sont ceux qui habitent là. Le terrorisme instrumente la terreur qu'il provoque dans l'esprit des autres.
Les Nazis sont circonscrits dans le temps et l'espace. Etc.
Et surtout éviter de juger.
Mélanger histoire et polémique tourne vite à la propagande. Et le travail vieillit très vite jusqu'à n'intéresser plus personne.
Bon courage pour votre travail. Si vous avez des faits nouveaux, ne manquez pas de nous en faire part.
Ne cherchez pas d'arrière-pensées dans mon propos. Tout au premier degré sur ce sujet délicat.
Cordialement.- Anonyme9/1/10
francois d'orleans au cours d'une operation qui a dure 4 jours avec ses hommes ont neutralises une cache se croyant en securite il s'est approche de la cache mais a oublie de securise les alentours ou il y avait un fel arme d'un fusil de chasse le tuant a bout portant v oila la verite mais pour l'ami du general faure il a fallu mentir pour ne pas devoiler les faiblesses de gens non formes a la guerilla ,a la fin de l'operation il y a eu 85 morts pas tous des hll pas de prisonniers j'eait moi meme ecoeure du comportement de certains chasseurs qui pensaient venger leur lieutenant en tuant sans vergogne:soyez assures que nos commandos du 2 eme rima ne fonctionnaient pas comme ca:vous pouvez considerer cette version comme oficielle car c'est moi qui ai recu le premier message de sa mort pour le moment je reste dans l'ombre car j'ai ecri un livre qui n'est pas encore edite:
Répondre - Catoneo10/1/10
Votre compte-rendu est précieux, même s'il reste quelques zones d'ombres que vous éclairerez sans doute dans votre livre.
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On voit la faute technique.
Merci en tous cas. - Anonyme3/4/10
Bonjour,
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Je souhaite entrer en contact avec ce monsieur qui a assisté à l'accrochage pendant lequel François d'Orléans est mort. Il me paraît intéressant d'échanger sans jugement ni arrière-pensée quelcnque ce qui s'est passé ce jour-là et pendant la guerre. J'aimerais avoir son témoignage si possible. Mon mail : cid.ara@hotmail.fr. Je serai ravi d'échanger si possible avec tout chasseur qui a fait la guerre au 6e ou 7e BCA en Kabylie.
Merci Patrick-Charles Renaud, qui est vraisemblablement intervenu dans les commentaires de ce billet le 9.01.10, publie son livre de la guerre d'Algérie qu'il a faite : "Chronique d'une guerre amnésique 1954-1962".
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Vous pouvez le commander chez l'auteur :
113, Avenue Foch - 54270 Essey-lès-Nancy
E-mail : patricktiretcharlespointrenaudchezorangepointfr
au prix de 34 euros (port en sus 5€) à régler par chèque.
Dans la Table des matières figure un chapitre 31 titré "La mort d'un prince". On devine de qui il s'agit.j'invite cordialement tous ceux qui ont ecrit ou simplement ont dans la mémoire quelques informations historiques sur la guerre d'Algerie en kabylie de me contacter ou de me communiquer les titres de leurs œuvres ( éditeur et titres de leurs mémoires) pour me permettre de compléter ma bibliothèque
Répondre
sihadj.abdenour@gmail.com
mobile 00213771264337
je suis moi-même l'auteur de plusieurs ouvrages
1. mémoires d'un enfant de la guerre paru aux éditions l'harmattan
2. Tinfouchy- coproduction franco algérienne aux éditions l'harmattan
3. la guerre vecue par un chasseur alpin- éditions publibook
4. fils de fellagha -publibookMessage reçu dans notre boîte email :
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Un ancien sergent du 7°BCA m'a dit que le Prince-Lieutenant a été tué en se présentant à contre-jour devant une cache d'où le tir est parti.
Ce pour info et sans pouvoir attester de la véracité de ce témoignage, lequel émane d'un homme fiable.
(message signé en clair)
Un amour exceptionnel
France-Algerie :pourquoi la repentance? qui en profitera?Réponse de Boualem Sansal
Grisés par leurs succès, les pickpockets et leurs caïds lorgnent sur le colonialisme d'hier. Ils ont un plan,il est simple : aider la France à culpabiliser,exiger sa repentance, puis lui offrir l,absolution en échange de quelques châteaux sur la Loire. L,atmosphère dans ce pays est lourde, chacun soupçone l'autre, on se neutralise par le jeu subtil des déclarations, on est bousculés par les écheamces, le plan devrait marcher comme sur des roulettes. Au gouvernement de la France de se débrouiller avec ces phénomènes, il les a reconnus, soutenus, à nous, pauvres gatés, il nous revient, à nous, pauvres galériens de toujours, de nous réapproprier notre avenir. Je me demande en passant quelle valeur aurait telle repentance et à qui le gouvernement de la France l'adressera : aux indus occupants du pouvoir ou à ceux qui vivent sous leur joug.
Boualem Sansal : Poste restante-Alger
qui est cette sirène
iferhounene : livre : le 6 BCA et la grotte de AZRO AIKANE-témoignage
je n'ai pas de nouvelles de toi, j'espère que tu vas bien.
je viens de relire ton récit sur les opérations militaires, et plus particulièrement celle de la grotte. il me semble qu'il y a des informations qui vous ont échappé , car , je un fellagha, qui avait connaissance de cette affaire , a écrit dans son livre " au coeur des maquis en kabylie " que tous les fells qui etaeintsortis de le grotte avaient été fusillés dans un oued , un peu plus loin.
le personnage de si arezki est effectivemnt arrété , emprisonné et liberare à l'indépendance
selon le maquisard du fln, les 17 individus qui s'etaint rendus l'ont fait sur instigation de s arezki qui etait un chef militaire. ils seraient tous des civils
peux tu me faire le recit detaillé des autres operations ; y a t il eu d'autres morts soldats ou simplement les gradés qui figurent dans ton recit?
es tu bien renseigné sur la mort de françois d'orléans, de l'adjudant arpin, et d'autres militaires.
aviez vous des noms de "fels" tres connus pendant la periode que vous avez passé à Tizi Ndjemaa
connaissez vous le lieutenat pelardy, le lieutenant Bouchet, le sergent fumey, le capitaine Wolf?
bien à toi, cordialement
Abdenour
une fois de plus choc de la première photo, et la bouche ne se referme pas, et ses coins se relèvent et les yeux s’écarquillent pour avaler les images