Une cascade de décisions déontologiquement inadmissibles et à l’opposé du droit !
Le tragi –comique de l’actualité nationale de ces dernières semaines est sans pareil !
-Un responsable de parti (le RND) qui « démissionne » à la suite d’un relatif succès aux élections locales et qui est remplacé au pied levé et sans explication en dehors de toute instance légale du parti (conseil national ou congrès).
- des ministres dégommés pour incompétence dans l’ancien gouvernement sont nommés sénateurs dans le tiers présidentiel lequel est composé de sénateurs très âgés à leur troisième mandat !
- une coalition de huit ministres FNL qui exigent publiquement le départ du secrétaire général et qui bafouent toutes les règles et procédures internes de leur parti qu’ils sont censés respecter.
- des sorties médiatiques tonitruantes de chefs de partis dits d’opposition, en faveur d’un quatrième mandat du président de la république alors que des changements de la Constitution sont annoncés et que l’article 74 relatif au cumul des mandats présidentiels pourrait être modifié.
- des « passages en force » dans plusieurs communes de la part des Walis pour imposer le président d’APC .L’exemple de Barbacha dans la Wilaya de Béjaïa n’est pas le seul.
-une situation de pré campagne présidentielle qui occulte tout le reste mais sans candidats déclarés à l’exception de monsieur Benbitour dont la caractéristique principale est de se tenir consciencieusement « hors de la mêlée » et attendre son heure. Un candidat qui rejette le système actuel tout en participant à son maintien par la présidentielle.
- depuis hier la déclaration d’une guerre à nos frontières du sud. Une guerre préoccupante selon le ministre des affaires étrangères mais « acceptée » depuis le passage éclair de madame Clinton et celui de nombreux émissaires de la France . Une guerre prévisible mais que les autorités algériennes refusent d’expliquer et d’analyser alors que les enjeux sécuritaires et les risques de partition du pays sont latents.
Et ce n’est pas fini ! Les semaines et mois à venir nous réservent surement d’autres affligeants spectacles de la guerre des clans.
Le « feuilleton » Belkhadem n’est pas terminé. Le FLN « propriétaire » d’une poignée de personnes continuera à décevoir et à usurper son sigle.
La guerre de tranchée au sein du RND se prolongera jusqu’au congrès
Le soutien pour le quatrième mandat d’un président affaibli par la maladie et fréquemment absent fera de plus en plus d’émules.
Le système adaptera sans surprise la Constitution pour ne rien changer et continuer dans l’immobilisme à bafouer loi et déontologie. La prédation et le mépris ont de beaux jours devant eux !
Enfin les répercussions de cette guerre à nos frontières pourrait nous réserver les plus dures surprises tant les dirigeants ne semblent préoccupés que par leur place au soleil!
Le tragi –comique de l’actualité nationale de ces dernières semaines est sans pareil !
-Un responsable de parti (le RND) qui « démissionne » à la suite d’un relatif succès aux élections locales et qui est remplacé au pied levé et sans explication en dehors de toute instance légale du parti (conseil national ou congrès).
- des ministres dégommés pour incompétence dans l’ancien gouvernement sont nommés sénateurs dans le tiers présidentiel lequel est composé de sénateurs très âgés à leur troisième mandat !
- une coalition de huit ministres FNL qui exigent publiquement le départ du secrétaire général et qui bafouent toutes les règles et procédures internes de leur parti qu’ils sont censés respecter.
- des sorties médiatiques tonitruantes de chefs de partis dits d’opposition, en faveur d’un quatrième mandat du président de la république alors que des changements de la Constitution sont annoncés et que l’article 74 relatif au cumul des mandats présidentiels pourrait être modifié.
- des « passages en force » dans plusieurs communes de la part des Walis pour imposer le président d’APC .L’exemple de Barbacha dans la Wilaya de Béjaïa n’est pas le seul.
-une situation de pré campagne présidentielle qui occulte tout le reste mais sans candidats déclarés à l’exception de monsieur Benbitour dont la caractéristique principale est de se tenir consciencieusement « hors de la mêlée » et attendre son heure. Un candidat qui rejette le système actuel tout en participant à son maintien par la présidentielle.
- depuis hier la déclaration d’une guerre à nos frontières du sud. Une guerre préoccupante selon le ministre des affaires étrangères mais « acceptée » depuis le passage éclair de madame Clinton et celui de nombreux émissaires de la France . Une guerre prévisible mais que les autorités algériennes refusent d’expliquer et d’analyser alors que les enjeux sécuritaires et les risques de partition du pays sont latents.
Et ce n’est pas fini ! Les semaines et mois à venir nous réservent surement d’autres affligeants spectacles de la guerre des clans.
Le « feuilleton » Belkhadem n’est pas terminé. Le FLN « propriétaire » d’une poignée de personnes continuera à décevoir et à usurper son sigle.
La guerre de tranchée au sein du RND se prolongera jusqu’au congrès
Le soutien pour le quatrième mandat d’un président affaibli par la maladie et fréquemment absent fera de plus en plus d’émules.
Le système adaptera sans surprise la Constitution pour ne rien changer et continuer dans l’immobilisme à bafouer loi et déontologie. La prédation et le mépris ont de beaux jours devant eux !
Enfin les répercussions de cette guerre à nos frontières pourrait nous réserver les plus dures surprises tant les dirigeants ne semblent préoccupés que par leur place au soleil!