Avec le "gégagement" par la force de Belkhadem, et si Bouteflika ne change pas le cours des choses, alors nous pourrions dire que tout lui échappe, en ce moment, y compris d'ailleurs le sénat dont des "dégagés" comme Oul ABBAS, et consorts, sont revenus en force. une puissance informelle détient le pouvoir dans la recomposition de l'equipe
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