Le frein que peut constituer la personnalité et l'expêrience de Ahmed Ouyahia, plusieurs fois chefs du gouvernement apparaît au grand jour, pour le quatrième mandat convoité secrétement,mine de rien, par Bouteflika. le branle bas de combat, pour ne pas dire les bruits de bottes, de l'équipe faite sur mesure pour préparer le terrain à la succession de Bouteflika par lui-méme ne trompe personne. Depuis la mise à l'écart de Ahmed Ouyahia et de Belkhadem qui, ce dernier ne constitue qu'un camouflage, une tentative de noyer le poisson dans l'eau, et son remplacement par Sellal lui même acquis pour le le projet preparé d'avance des échéances de 2014, les actions de dénigrement synchronisées, et planifiées ont été menées contre le jeune Énarque et non moins experimeté dans les gestion des affaires délicates de l'État algérien Dieu sait qu'il en a connu. Depuis donc, une véritable union sacrée s'est formée discrètement contre cet homme honnête, efficace et ambitieux et donc présidentiable.
A en juger par les déclaration et actions des uns et des autres, cette thèse de complot ourdi se dévoile chaque jour davantage .
"En effet, la désignation du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a mis fin à une grande inquiétude des opérateurs économiques sur l'absence des perspectives de développement économique et social ou tout au plus à une absence d'une stratégie mobilisatrice permettant la mise en oeuvre d'une politique devant aboutir à la création de richesses et d'emplois."Saida Neghza de la CGEA
chérif RAHMANI qui se maintient au pouvoir depuis des décennies est peut être au bout du rouleau, mais a-t-il négocié son maintien, contre sa prise de position récente contre Ahmed Ouyahia au sein du RND?
iDEM pour YAHIA GUIDOUM qui vient de ressurgir de façon arrogante et determinée, juste pour se lancer à bras raccourcis contre Ahmed Ouyahia , sans méme se sentir obligé de trouver de vrais arguments à son opposition frontal au secrétaire général du RND.
La question qui se pose, à présent quel sera la position des autres partis et de l'electeur devant un tel verrouillage de la vie politique du pays?
Quelle place aux autres candidats pour quelle credibilité à cette élection qui se dit démocratique?
Quel est la part qui revient à certains ténors tels que Louiza Hannoune, Amara Benyounes, Sidi Said et autres satellites dépendants de l'astre du système politique. Que pensent Said Sadi, Ghozali, Soltani. BENFLIS, BENBITOUR et quelle est la marge de manoeuvre qui leur reste? Vont-ils déclarer forfait? Autant dire qu'il vaille mieux économiser l'argent du peuple et le consacrer au développement social des laisser pour compte! le temps fera le reste. Dieu est omnipotent, un changement viendra par son initiative, que dis-je? par sa puissante volonté imparable!
Ce que nous réserve l'avenir est plein d'inconnues, et les differences idéologiques , culturelles, sociologiques vont se developper de façon exacerbée. La democratie est une question de culture, de sociologie, de langue et d,economie. Un apprentissage de tous les jours dans le monde des humains. Mais ici en Algerie,grace à la corruption , tout se vend y compris les places de deputés, alors que reste-t-il à la Démocratie!?