Pour ceux qui se contentent des informations donnees par les chaines et les medias publics, l,Algerie et la France n,ont pas de liens etroits batis sur des interets individuels des gouvernants.
l,histoire nous dira demain tres proche ce que nous pouvons imaginer immédiatement aujourd’hui.
que la clique de François Hollande est intimement liee a celle de Bouteflika.
que les intérêts des peuples francais et algeriens sont totalement ignores par leurs dirigeants.
qu,il existe des accord secrets entre la France de Hollande et Bouteflika que nous pouvons résumer en une seule phrase :
soutien totale inconditionnel au maintien au pouvoir de Bouteflika par la France et donc l<Euorpe, en contre partie, d,une soumission totale des institutions algeriennes aux desiderata du gouvernement francais.
contrats commerciaux, inféodation de l,Algerie a la France, soutien a l,anti-islamisme francais, exploitation du gaz schiste, protection des hommes politiques algeriens pro francais, contre toute poursuite judiciaire en Europe, coopération gouvernementale dans la répression des revendications populaires.
--------------------------------------------------
Périscoop : Accord algéro-français sur le schiste ou pas ?
Au dernier point de presse du Quai d’Orsay, le porte-parole du MAE, à qui un journaliste demandait s’il pouvait confirmer «la signature prochaine d’un accord entre la France et l’Algérie sur l’exploitation du gaz de schiste algérien», a eu cette réponse courte et pour le moins assez équivoque : «Ce sujet n’est pas discuté dans le cadre de notre dialogue bilatéral avec l’Algérie.» Question : s’il n’est pas discuté en bilatéral, l’est-il dans un autre cadre ? Rappelons juste que Fabius, le patron du MAE, cité par l’hebdomadaire Le Point aurait dit à quelques journalistes que «la France s’apprêtait à entamer l’exploration du gaz de schiste en Algérie» et qu’un «accord était en cours de signature». Le journal expliquait alors que cet accord «ferait de l’Algérie un laboratoire que la mobilisation citoyenne sans précédent a rendu plus difficile à mettre en place en France : celui de l’expérimentation d’alternatives à la fracturation hydraulique, interdite sur le territoire français depuis juillet 2011».