Si le pouvoir et l'opposition en Algérie sont dans l'incapacité d'élaborer une politique de développement pour son peuple, il est bien évident que les puissances internationales le feront en leur lieu et place. Dans ce cas, il sera alors question de résolution de l'ONU, voire même d'accords entre les puissances de l'occident et de la Russie, Chine et autres pays du bloc anti-occidental. Ce plan qui sera concocté par des accords internationaux, ne prendra évidemment pas en charge les aspirations du peuple algérien , mais les intérêts des puissances.
Sachant que le pouvoir est incapable de rédiger un charte a méme de sortir le pays de la crise profonde, il persiste a vouloir garder le pouvoir pour lui seul, sans partage, au risque de se voir condamner par le monde entier, isoler et juger.
Quant a l'opposition , elle pêche par le manque de cohérence, et de combattivité. A lieu d'une stratégie scientifiquement élaborée, elle se contente d'actions limitées, de revendications du pouvoir, a l'exclusion du partage. Ce qui rend sa démarche impopulaire et inopérante en même temps. Certains partis d'opposition se sont même vu dans un habit de conciliateur alors que leur passé glorieux les avait poussé a la rébellion armée.Il est inutile de rappeler que ni le pouvoir en place, ni l'opposition ne laisse aucune place aussi minime soit-elle a une participation populaire au pouvoir. Autant dire que les horizons sont bouclés pour plusieurs générations, combien méme le clan qui détient le pouvoir accepterait-il de céder sa place.
le scénario SADAM, Moubarak, Khadafi, Benali est-il prévisible en Algérie ?
Au point ou vont les choses, le scenario a craindre est celui de Sadam, de Khadafi, de Moubarak ou Benali qui sont en fait plusieurs facons de liquider violemment un même problème.
Devant ce blocage dangereux pour le pays et le monde dit libre, qui attend une véritable liberté de circulation des produits et des idées profitable en premier lieu Aux USA, rien ne me dit que les USA, et beaucoup d'algériens commencent a le souhaiter de plus en plus ouvertement, devant la mainmise flagrante de la France sur l'economie algerienne, ne viennent changer la configuration générale du monde pour briser l'étau sur l'Afrique qui géne la mondialisation. en fait de mondialisation , la France s'accapare des richesses de certains pays africains sous couvert de cooperation et de democratie. Dans le méme moment , la France intra muros perd de sa démocratie vis a vis ses propres citoyens. la corruption bat son plein , les règlements de compte font légion au plus hau sommet de l'État.
l'histoire de France , il est vrai est loin d'être un exemple de démocratie et de solidarité envers les peuples. la France traine derriere elle, le plus lourd fardeau de son hstoire coloniale , mais aussi la faramineuse dette de son economie. c'est dire que les managers Français au plus haut niveau ne sont pas des exemples de la science du management et de pratique politique.
l'Algerie est toujours sous emprise de sa métropole. l'economie est verrouillée, le baiser de la mort mettra fin aux richesses tant vantées de l'Algerie.
l'explosion populaire
oui , l'explosion populaire n,est pas Loin
ce n'est pas quelques géants aux pieds d'argile de son économie qui la sauveraient du chaos.
Ni Rebrab, encore moins Haddad , ou autres othmani, qui pourront mettre en place une strategie de developpement de l'economie a long terme:
CAPABLE DE PRENDRE EN LIGNE DE COMPTE L'EPANOUISSEMENT SOCIOCULTUREL DU EUPLE ALGERIEN
c'est dire que les Rebrab, HADDAD, ET AUTRES NE FONT QUE DANS LE COMMERCE, LA SOUS TRAITANCE ET AUTRES actions mercantilistes.
SAUVER L'ALGERIE, mais quoi faire et comment ?
SEULS LES INTELLECTUELS INTEGRES, ENGAGÉS PEUVENT SAUVER CE PAYS DONT LA POPULATION CROIT A UNE VITESSES GRAND V. ce qui est un atout pour la chine devient un handicap pour l'Algérie qui perd chaque jour un peu plus ses rrichesses naturelles sans générer une veritable industrie, ni méme une agriculture viable.
Nous pouvons dire que l'Algerie entame deja son profond echec. Elle va droit au mur. le risque est encore plus grand de voir le pays divisé au grand dame des certaines puissances.