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Algérie : A quoi jouent les pouvoirs en Algérie ?

 

Bouteflika est malade. Il n'a pas les capacités intellectuelles, ni physique pour affronter les problèmes et les caractères psychopathes, et névropathes des éléments qui composent son équipe. A commencer par son premier ministre qui ne finit pas de laisser libre court a ses névroses, en transformant la réalité quotidienne a travers son prisme déformant  qui finissent dans le burlesque.

Amar Ghoul qui traine ses casseroles, loin d'être un manager, n'a fait que porter préjudice au président de la république qui va son action inhibée, car c’est lui même qui l'avait désigné a ce poste, croyant bien faire en faisant participer des islamistes au pouvoir. Mais en fait ce pseudo islamiste n'a rien d'un islamiste. Son hypocrisie L'a poussé à vanter les mérites du président de façon ambivalente de manière a se faire applaudir par les islamistes.  Au même titre que Belkhadem, Ghoul reste un infiltré dangereux pour le pays et pour le pouvoir. Cet homme changeant comme un caméléon, pourrait bien demain soutenir un régime inféodé a l'étranger.

Quant a Saadani, il n'a aucun passé révolutionnaire, et aucune envergure nationale. Il porte préjudice au président, qui semble ne pas savoir ses agissements et la mauvaise réputation dont il fait l'objet.

L'histoire RETIENDRA LA PÉRIODE DE SON PASSAGE A L'APN COMME UN ACCIDENT DE PARCOURS. Une RÉVISION DES POINTS DE VUE S'IMPOSERA DES SON DÉPART.

En ce qui concerne Louiza Hannoune, elle aura marqué la politique de Bouteflika par ses dépassements anti constitutionnels, et illégaux. Elle porte plus préjudice a la crédibilité de l'État qu’elle ne l'aide à régler les graves problèmes qui se posent.

Bouteflika ne semble pas être informé de toutes ses irrégularités, mais le monde est  à l'écoute, et jugera  de cette période d'anachronisme du régime algérien.

 Il y a comme une clochardisation des institutions, et une personnalisation selon les humeurs et les défauts des dirigeants qui occupent indument des postes de responsabilité.

 L'armée? Oui l'armée est instrumentalisée grâce a l'allégeance pure et simple de ses chefs au détenant du pouvoir.

Mais l'armée en elle même n'a pas à se culpabiliser du fait qu'elle est dans L'obligation d'exécuter des ordres de la hiérarchie. Mais ce qui fait mal et qui aura des conséquences  incontrôlables d'ici peu : c'est la multiplication des centres de décisions.

Qu doit répondre et devant qui, des fautes et malversations des individus qui constituent ce pouvoir ?

 le systéme mis en place n'EST MÉME PAS EN MESURE de contrôler qui que ce soit encore moins de le sanctionner ou le poursuivre devant des juridictions.

 Évidemment il se multipliera des malversations , des gabegies, a l'instar de Chakib,  et autres.

Le wali D,Alger vient de prendre une décision  unique dans les annales de la gestion des deniers publics. Qui peut le contrôler, qui  peut le sanctionner?

Il y aura d'autres et d'autres décisions de ce genre... et c'est la voie ouverte toutes manies, toutes gabegies, a toutes esbroufes.


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