Les institutions du pays sont devenues des instruments entre les mains des dirigeants. Saidani s'offre l'APN pour s'adonner à son sport favori : l'attaque contre la DRS à travers son chef le général Tewfik.Monsieur Saidani a-t-il le droit d'utiliser les tribunes d,une assemblée nationale élue( bien ou mal) pour se défendre ? il existe une justice algérienne et une justice internationale que Notre président de l'APN a toute latitude de saisir et attendre les verdicts, comme tous les citoyens du monde. Mais de là à faire participer tous les députés de tous les partis pour défendre sa petite personne, cela relève dU détournement de pouvoir. Vrai ou faux , les accusations portées contre lui, par les supposés généraux, cela ne peut concerner que sa propre personne en tant qu'algérien ayant occupé des fonctions au sein de l'État. ce qui n'a donc rien à voir avec son mandat de député.
Mais ce qui est plus triste pour nous algériens appartenant au clan nombreux des silencieux et qui sommes malades dus système , c'est que nos problèmes politiques ne sont pas considérés comme dignes d'intérêt. Nous sommes réduits à une quantité infiniment petite, pendant que ces faux représentants du peuple s,Octroient des salaires mirobolants et distribuent des primes à qui ils veulent ou à des injonctions du haut.
Ce qui est plus impardonnable, en dehors des sommes annoncées par sAIDANI dont il est accusé à tort ou à raison d'être d'avoir détournées, c,est l'avenir de nos enfants et de nos petits enfants qui est tout simplement hypothéqué. ça c,est une responsabilité immensément sacrée que le peuple ne peut abandonner entre les mains des irresponsables, des effrontés, des éhontés.
300 millions de dollars cela ne peut représenter que du pipi de chat dans la valeur de ce peuple . l'avenir de notre jeunesses colonisée par des charognards. la sécurité du trésor public livrée aux chiens. les Chakib et autres chapardeurs peuvent agir à leur guise dans l'impunité totale, à cause de ces faux managers, ces faux ministres, ces faux banquiers.
Basta ! nous sommes en droit renvoyer le pouvoir et l'opposition dos à dos et réclamer les règnes de la gouvernance!