le message du Secrétaire général de l'ONU a Bouteflika montre plus un état de fait criard et irrégulier vis a vis du droit des peuples qu'une invitation a faire participer l'opposition au pouvoir.
la déclaration de Ban Ki Moon vient nous rappeler que le pouvoir algérien a tout simplement exclu l'opposition.Il exclue par voie de conséquence la liberté d,expression et donc l'instauration d'une démocratie.
le pouvoir qui agit en solo, et qui se trompe de direction, pis, il exclue toute idée de contradiction et l'existence d'une opposition .
De la a accepter de dialoguer avec l'opposition que le pouvoir ne reconnait pas et qu'il combat par tous les moyens, cela reviendrait a dire que cela dépendrait de la volonté du pouvoir. Or nous savons que c'est l'opposition qui rejette le pouvoir dans son attitude entêtée a vouloir supprimer toute opposition et instaurer un régime dictatorial depuis plusieurs décennies.
Conséquence immédiate : l'impasse est bien la, et l'opposition est matériellement présente et exige le départ pur et simple du systèmeen place depuis l,indépendance.
La France semble avoir compris que l'impasse dans laquelle le système en place se trouve va entrainer la chute de Hollande s'il persiste a le soutenir pour continuer a bénéficier de contrats léonins au détriment des intérêts des peuples français et algérien : l'amitié entre les deux peuples que rien ne peut remplacer.
les USA observent un temps de réflexion pour mieux analyser la situation , car toute erreur d'appréciation serait fatale aussi bien pour les intérêts occidentaux que pour le peuple algérien.
Les USA doivent s'impliquer davantage dans le processus de démocratisation du systéme pour contrecarrer les visées individualistes et égoïstes du gouvernement de Hollande. l'equilibre des forces tant intra muros qu'extra muros est la condition sin qua non du règlement pacifique de la crise du pouvoir en Algerie. Car il y a réellement une crise de pouvoir en Algerie. N'attendons pas de nous retrouver dans la situation identique qu'en Egypte ou en Tunisie D'avant pour réagir. ce sera trop tard et le mal sera deja fait, irréparable.
Si Louiza Hannoune fustige l'impérialisme américain, nous fustigeons le statut quo dominé par l'ex puissance colonisatrice. l'HISTOIRE nous a appris que les USA ont contribué a la libération du peuple algérien du joug colonial dominé par le parti de Francois Mitterand.
Nous ne sommes l'ennemi de personne gratuitement. Nous sommes disposés a coopérer avec tous les peuples du monde dans l’intérêt du bien etre de tous les peuples de la planète. C'est pour cela que nous considérons le peuple américain ami du peuple algérien