les filles sortent de leur cloitrement, da la sequestration dans lesquels les ont placées leurs parents. un tour a iferhounene suffit de voir une chose inhabituelle : la nomadisation des filles. on les rencontre dans la rue, au centre de la ville, dans les fourgons, a l'APC, a la bibliothéque communale, a l'hopital, dans les commerces et les cybercafé. Est un pour cela que l,on peut dire que la femme est complétement emacncipée, libérée de la tyrannie de l'homme ? peut-etre. Mais le moins que l'on puisse dire est que ce sont les filles , particuliérement les adolescentes, les universitaires, laissons de coté les petites filles, qui profitent de cette explosion de la mixité. Mais est ce pour cela encore une fois que l,on puisse avancer que la fille adolescente bénéficie des mémes droits que L,homme? et bien non! la fille adolescente, qui travaille est exploitée. elle passe donc du statut de cloitrée a celui d'exploitée. un peu comme la femme canadienne des annees 1700 a 1900.
le chômage a surtout frappé le sexe masculin dans cette region enclavée. les métiers modernes, cybercafé, commerces d,articles féminins, administration , hôpitaux, ont donc profité a la femme,et l'ont propulsé sur la scéne et dans la rue. Mais quel impact sur les relations homme-femme? le conflit existe mais sournois. pour une fois dans l,histoire des villages, la femme se trouve etre en position de force , grâce au systéme de production capitaliste qui fait tache d'huile dans les villages les plus enclavés. la mondialisation aidant, l,homme est doublement exploité par le nouveau style de vie : internet, boutiques luxueuses, metiers adminsitratifs, ont profité a la femme aussi bien sur le plan financier que surtout le plan du developpement socio culturel.
Que reste-t-il pour l'homme ? le café sans le cyber pour les plus agés, les travaux de feraille, de mécanique, de menuisiers, de maconneries, de pompistes, de taxieurs, de camionneurs. c'est deja une bonne partie de L,activité economique de la region de Kabylie. Des usines, ca n'existe pas.