En analysant la situation actuelle et en faisant une projection sur la prochaine échéance présidentielle, on serait tenté, dans le cas ou Abdelaziz Bouteflika deciderait à quitter le pouvoir, d'imaginer le sénario qui pourrait se produire.
À vue d'oeil, nous avons en première ligne Ahmed Ouyahia : celui-ci est doté de l'experience suffisante et nécessaire pour assurer sans heurts la continuité dans la stabilité,bon manager, maîtrisant beaucoup de dossiers malgré l'image que l' on s,est toujours forcé de donner de lui. Un Ahmed Oyhahia au poste de premier magistrat du pays , donnerait autre chose que ce commis de l'Etat dépendant et exécutant.
ensuite viendrait Abdelaziz Belkhadem : malgré l'ètiquette qui pourtant lui colle a poil d'islamiste, celui est loin de représenter les idées que reflétet sa barbe et son chèche, ainsi que sa gandoura. Un Belkhadem à la présidence aurait bien sur une autre vision des affaires de l'Etat et de l,environnement international.
enfin, nous pouvons imaginer également un printemps arabe non violent, sans heurts, qui sera l'oeuvre d'un islamiste modéré soutenu par les occidentaux pour barre la route aux russes et aux chinois dans cette partie de l'Afrique stratégique et névralgique, d'Une part et rassembler tout ce monde arabe sous la même bannière, pour mieux le gérer et éventuellement pour mieux l'utiliser dans les conflits régionaux , notamment contre le spectre chinois et russe
Mais tout cela dépendra de deux acteurs importants ; l'armee et les le soutien des USA