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Belkhadem agit comme un hors la loi, il exclue la population algérienne et les partis politiques de la légitimité de la révolutionnaire algérienne. Il appartient au président de la Réublique, en l'occurence, Abdelaziz Bouteflika de mettre un terme à ses agissements. il est le garant de l'unicité de la nation et de la popularité de la guerre de libération. Belkhadem ne doit pas continuer à défier la loi et l'histoire. il utilise à son profit personnel l'histoire de l'Algerie. On est en présence d'un mensonge d'Etat qui se fait complice d'un opportuniste dangereux et qui touche au passé historique du peuple algérien. le FLN est la propriété légitime du peuple algérien dans son intégralité et nul n'a le droit d'en disposer à sa guise, encore plus d'en exclure les autres citoyens. De la mée matière qu'il a été interdit aux partis politique de faire usage de la religion dans leurs campagnes electorales, il doit etre interdit aussi de se prétendre détenteur de la légitimité historique du FLN.
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Le président de Jil Jadid ne mâche pas ses mots. Il réagit aux propos tenus par Belkhadem qu’il accuse de mener campagne contre les partis politiques récemment agréés.
Djilali Sofiane dit ne pas comprendre les motivations du patron du FLN. Ce dernier, faisant campagne pour les locales, n’a pas hésité à s’en prendre à «certains» partis politiques, leur déniant le droit de se réclamer proches des valeurs de la Révolution algérienne. Le numéro un de Jil Jadid dénonce ce qu’il qualifie de campagne «féroce et immorale» et s’insurge contre des propos qu’il qualifie d’irresponsables et qui, dit-il, portent atteinte à la Révolution et au peuple algérien. Djilali Sofiane tient à rappeler que son parti se réclame des valeurs de la lutte pour la Libération, indiquant que le monopole de l’Histoire, notamment le sigle du FLN historique, est de nature à porter atteinte au pays. Il appelle la classe politique à s’unir pour dénoncer cet état d’esprit et ces tentatives de se proclamer seul dépositaire des symboles de l’Histoire. Sofiane Djilali en appelle au président de la République à qui il demande de prendre ses responsabilités en mettant un des symboles de la Révolution à l’abri des manipulations politiques car, conclut-il, cette situation «immorale» nuit au caractère sacré de la Révolution.
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Belkhadem agit comme un hors la loi, il exclue la population algérienne et les partis politiques de la légitimité de la révolutionnaire algérienne. Il appartient au président de la Réublique, en l'occurence, Abdelaziz Bouteflika de mettre un terme à ses agissements. il est le garant de l'unicité de la nation et de la popularité de la guerre de libération. Belkhadem ne doit pas continuer à défier la loi et l'histoire. il utilise à son profit personnel l'histoire de l'Algerie. On est en présence d'un mensonge d'Etat qui se fait complice d'un opportuniste dangereux et qui touche au passé historique du peuple algérien. le FLN est la propriété légitime du peuple algérien dans son intégralité et nul n'a le droit d'en disposer à sa guise, encore plus d'en exclure les autres citoyens. De la mée matière qu'il a été interdit aux partis politique de faire usage de la religion dans leurs campagnes electorales, il doit etre interdit aussi de se prétendre détenteur de la légitimité historique du FLN.
