Après sa sortie fracassante sur "L'impérialisme américain qui rivalise avec la révolution trotskiste de Louiza Hannoune et non moins anti-impérialiste opportunisto-electoraliste, Notre ami Farah du Soir d'Algerie vient, une fois de plus, de se singulariser avec sa nouvelle théorie économique. excluant toute idèe de résorption du chômage par l'ouverture de petits commerces en maillant les communes algériennes de petits commerces utiles et bénèfiques à tous points de vue : plus grande concurrence, création d'emploi, et dotation des quartiers en divers commerces susceptibles de répondre aux besoins des populations en tous produits, réduction des recours au marché noir.
Decidément Notre ami Farah est seul à imaginer une organisation de l'économie qui sied à ce pays. Pas méme le président de la République, qui du reste, n'est pas concerné de près par la mise en oeuvre pratique sur le terrain de cette politique dans ses détails et qu'il accuse tout de méme d'etre à l'origine de cette "instigation"
Monsieur Farah continue de penser tout seul, méme si le peuple pense à autre chose que ce que nous suggère notre ami journaliste du Soir d'Algerie. C'est vous dire jusqu'ou peut nous mener la liberté d'expression quand celle-ci est le seul apanage de la presse. Le peuple se contentera de lire le journal, en attendant de meilleurs jours.
