L’intervention, anonyme, dans la presse d’un responsable au niveau de la présidence de la République qui s’est défini comme un confident de Bouteflika a, pour le moins, recadré quelques positions partisanes par rapport à la présidentielle d’avril 2014. Ceux qui ont cru judicieux de dégainer les premiers un appel à candidature supplémentaire de Bouteflika se ravisent à présent, pas sûrs d’avoir bien fait d’anticiper sur une perspective qui peut paraître désormais aléatoire. Etêtés et englués dans d’inextricables conflits organiques, les deux partis pivots de ce qui était ou présenté comme une